Woody Allen: abus sexuel de Dylan Farrow, 20 faits indéniables

Allégation d'abus sexuel de Dylan Farrow contre Woody Allen: 20 faits indéniables.

Les faits comptent. L’allégation d’abus sexuel de Dylan Farrow contre Woody Allen ne résiste pas aux faits. Loin des mensonges de Maureen Orth pour Vanity Fair, les “10 Undeniable Facts about the Woody Allen Sexual-Abuse Allegation“, entièrement déniables, présentés sans aucune source et insidieusement déformés par des amalgames manipulateurs et l’omission délibérée de faits plus importants, TOUS les faits soutiennent l’innocence de Woody Allen.

Vous trouverez ci-dessous l’ensemble des faits puis une explication détailléz pour chacun d’entre eux.

Tous les faits en 1 minute (sélectionnez un nombre pour afficher le détail d’un fait)

1. Woody Allen a été seul dans son appartement avec Dylan Farrow un nombre incalculable de fois et aurait pu l’abuser sexuellement sans aucun témoin un nombre incalculable de fois.
2. Malgré le fait précédent, l’abus sexuel aurait eut lieu dans une maison remplie de gens hostiles à Woody Allen. De plus, il leur avait été ordonné de le surveiller et de ne jamais le laisser seul avec Dylan.
3. L’agression sexuelle d’enfants est une déviation compulsive qui exige la répétition. Woody Allen et sa femme ont adopté deux filles (maintenant adultes). Seule Dylan Farrow a accusé Woody Allen de l’avoir abusé sexuellement, une seule fois. Hormis cela, personne, enfant ou adulte, n’a jamais accusé Allen d’agression sexuelle ou d’inconduite.
4. Trois jours avant la date où aurait eut lieu l’abus sexuel présumé, ayant appris que Woody Allen lui avait menti et que sa relation amoureuse avec Soon-Yi se poursuivait, Mia Farrow a déclaré qu’il était « satanique et diabolique » et plaidé pour « trouver un moyen de l’arrêter ».
5. La police n’a jamais demandé à Woody Allen de se soumettre au test du détecteur de mensonge, il l’a fait spontanément. Lorsqu’il a demandé à Mia Farrow de faire la même chose, elle a refusé.
6. Lorsque Woody Allen a officiellement adopté Moses Farrow et Dylan Farrow en décembre 1991, Mia Farrow a rédigé une déclaration sous serment louant ses compétences parentales.
7. Woody Allen n’a jamais été en thérapie avec un psychologue pour enfants pour sa conduite envers Dylan Farrow. Satchel (Ronan) et Dylan l’étaient.
8. Soon-Yi Previn n’est pas la (belle) fille (adoptive) (mineure) de Woody Allen et lorsqu’elle était enfant, il n’a jamais été une figure paternelle pour elle, comme le confirme le document de la Cour suprême, les déclarations de Soon-YI et l’autobiographie de Mia Farrow.
9. La nounou Monica Thompson a déclaré que Mia Farrow avait fait pression sur elle pour qu’elle soutienne les accusations d’abus sexuel contre Woody Allen. Elle a aussi déclaré qu’une autre baby-sitter avait de sérieux doutes sur l’accusation de molestation.
10. Mia Farrow a filmé Dylan en plusieurs fois et plusieurs jours et l’a emmenée deux fois chez le pédiatre avant qu’elle n’accuse Woody Allen d’avoir touché ses parties intimes dans le grenier.
11. Lorsqu’elle était enfant, Dylan Farrow a changé plusieurs fois le récit de son prétendu abus sexuel par Woody Allen, allant même jusqu’à déclarer « J’aime tricher avec mes histoires ».
12. Après des mois d’enquête deux équipes indépendantes d’experts en abus sexuels de deux états différents (Connecticut, New York) ont déclaré l’allégation de Dylan Farrow non crédible et infondée.
13. En raison de la relation de Woody Allen avec Soon-Yi Previn, le juge Wilk, marié à une avocate féministe, était ouvertement partial contre lui.
14. Selon le document de la Cour suprême, le comportement inapproprié de Woody Allen envers Dylan Farrow concernait l’intensité de sa relation avec elle, pas l’allégation d’abus sexuel.
15. La déclaration complète du procureur Frank Maco contredit sa prétention d’avoir une « cause probable » (il n’a jamais dit laquelle) pour poursuivre Woody Allen.
16. Dès 1992, Moses Farrow a affirmé qu’il croyait que sa mère Mia Farrow avait inventé l’accusation d’abus sexuel contre Woody Allen.
17. Moses Farrow était présent avant, pendant et après l’événement présumé. Son témoignage confirme les deux enquêtes qui ont innocentées Woody Allen et le lavage de cerveau exercé par Mia Farrow sur sa fille adoptive Dylan.
18. Même en tant qu’adulte, et tout à l’opposé de ce qu’elle ne cesse de répéter, Dylan Farrow a changé sa version à plusieurs reprises concernant la façon dont Woody Allen l’aurait sexuellement agressée.
19. Le train électrique dans le grenier, décrit avec insistance par Dylan Farrow dans sa lettre ouverte publiée en 2014 par le NYT, de même que le voyage à Paris, n’ont jamais été mentionnés auparavant.
20. La chanson de Dory Previn “Avec Mon Papa dans le Grenier” où un père incestueux joue de la clarinette (Woody Allen est clarinettiste) était tout particulièrement familière à Mia Farrow.
Allégation d'abus sexuel de Dylan Farrow contre Woody Allen: 20 faits indéniables.
Allégation d’abus sexuel de Dylan Farrow contre Woody Allen: 20 faits indéniables.

1. Woody Allen a été seul dans son appartement avec Dylan Farrow un nombre incalculable de fois et aurait pu l’abuser sexuellement sans aucun témoin un nombre incalculable de fois.

Durant leur 12 années de relation amoureuse, Woody Allen et Mia Farrow n’ont jamais été mariés et n’ont jamais vécu ensemble.

Woody Allen vivait dans le quartier Upper East Side de New York, Mia Farrow et ses enfants vivaient dans le quartier ouest de Central Park. En fait, en douze années, Woody Allen n’est jamais resté dormir une seule fois dans l’appartement de Mia Farrow.

Woody Allen s’est retrouvé seul avec Dylan Farrow dans son appartement de la 5ème avenue un nombre incalculable de fois et aurait pu abuser sa fille adoptive sans aucun témoin un nombre incalculable de fois.

2. Malgré le fait précédent, l’abus sexuel présumé aurait eu lieu dans une maison pleine de gens hostiles à Woody Allen. De plus, il leur avait été expressément ordonné de le surveiller et de ne jamais le laisser seul avec Dylan.

L’’abus sexuel présumé aurait eut lieu le 4 août 1992 dans la maison de vacances de Mia Farrow, dans le Connecticut, Frog Hollow.

Dans son essai écrit en 2018, Moses Farrow déclare:

Le 4 août 1992 était une journée chaude et ensoleillée à Bridgewater dans le Connecticut. Mais dans la maison de campagne de notre famille, Frog Hollow, l’ambiance était glaciale. Ma mère, Mia Farrow, était allée faire du shopping avec Casey Pascal, une amie dont elle était très proche depuis leur enfance. A ce moment, j’avais 14 ans et j’étais resté à la maison ce jour-là, avec ma petite soeur Dylan, qui venait d’avoir 7 ans, mon frère Satchel (qui se fait maintenant appeler Ronan) qui avait 4 ans, et les trois enfants de Casey. Nous étions surveillés par notre baby-sitter, Kristi, par la baby-sitter de Casey, Alison, et par notre professeur de français, Sophie. C’était une maison pleine de monde.

Il y avait un autre adulte dans le salon ce jour-là, assis par terre, en train de regarder « Qui veut la peau de Roger Rabbit ? » avec nous : Woody Allen. En apparence, ce n’était pas différent des autres fois où il était venu nous voir dans notre maison de campagne. Mais ma mère nous avait demandé de le surveiller et de ne pas le perdre de vue.

Ceci est confirmé par le document de la Cour suprême: « Mme Farrow avait précédemment informé Mme Groteke que M. Allen ne devait pas être laissé seul avec Dylan. »

Et par la nounou Monica Thompson: « Mme Farrow a préparé le terrain pour signaler l’incident impliquant Dylan. Pendant plusieurs semaines, Mme Farrow a insisté pour que M. Allen ne soit pas laissé seul avec Dylan et voulait que je sois tout le temps avec eux. »

3. L’abus sexuel d’enfants est une déviation compulsive qui exige la répétition. Woody Allen et sa femme ont adopté deux petites filles (maintenant adultes). Seule Dylan Farrow a accusé Woody Allen de l’avoir abusée sexuellement une et une seule fois.

« Soit dit en passant, venant sur les talons du cirque des médias et de fausses accusations, Soon-Yi et moi avons été minutieusement examinés par l’agence d’adoption et les tribunaux d’adoption, et tout le monde a béni nos adoptions. » – Woody Allen Speaks Out.

Bechet et Manzie Allen sont maintenant adultes. Le 24 mai 2018, Bechet Allen a publié sur sa page Facebook:

« Je n’ai jamais voulu m’impliquer dans les débats des médias sociaux à propos de mon père, mais je me rends compte qu’il arrive un moment où je ne peux plus continuer à prétendre que rien ne se passe. Il n’a été que solidaire et aimant, et maintenant c’est mon tour de le soutenir. »

4. Trois jours avant la date où aurait eut lieu l’abus sexuel présumé, ayant appris que Woody Allen lui avait menti et que sa relation amoureuse avec Soon-Yi se poursuivait, Mia Farrow a déclaré qu’il était « satanique et diabolique » et plaidé pour « trouver un moyen de l’arrêter ».

Le Dr Coates a qualifié le comportement de Mme Farrow de plus en plus irrégulier au fil des mois. Le Dr Coates a témoigné que le 1er août de l’année dernière, Mme Farrow l’a appelée après avoir appris que l’affaire avec Mademoiselle Previn se poursuivait. Mme Farrow a décrit M. Allen comme «satanique et pervers», a déclaré le Dr Coates, ajoutant que Mme Farrow avait plaidé pour «trouver un moyen de l’arrêter».New York Times

5. Bien que la police n’ait jamais demandé à Woody Allen de se soumettre au test du détecteur de mensonge, il l’a fait volontairement. Lorsqu’il a demandé à Mia Farrow de faire le test à son tour, elle a refusé.

Peu de temps après que Mia ait porté son accusation, Allen s’est volontairement soumis au test du détecteur de mensonge administré par un homme indépendant et très respecté dans le domaine: selon le Washington Post, Paul Minor (1940-2015) était l’ancien opérateur en chef du détecteur de mensonge du Bureau Federal Bureau d’Investigation (FBI).

Woody Allen a réussi le test et a demandé à Mia Farrow de le faire à son tour: elle a refusé.

Cela a toujours été un gros problème pour le clan Farrow, les forçant à mentir et à déclarer que Woody Allen a refusé de passer le test du détecteur de mensonge administré par la police de l’État du Connecticut.

Ce mensonge, comme beaucoup d’autres, semble avoir été inventé par Maureen Orth pour son listicle écrit en 2014 pour Vanity Fair: « 10 Undeniable Facts About The Woody Allen Sexual-Abuse Allegation. ». Contactée par Cathy Young pour demander la source des informations, Maureen Orth a répondu qu’elles « provenaient de plusieurs sources et avaient été vérifiées (sic) par Vanity Fair ».

À l’exception des personnes qui croient que le papier glacé de Vanity Fair – un magazine de culture populaire – est une preuve de vérité, Maureen Orth est une journaliste discréditée, connue pour calomnier Woody Allen et Michael Jackson depuis de nombreuses années.

Donc, il y avait tellement de sources que Maureen Orth a été incapable d’en donner une seule. Et pour consolider son mensonge et cacher que Mia Farrow a été invitée à passer le test par les avocats de Woody Allen et a refusé, Maureen Orth déclare que Mia Farrow n’a jamais été invitée par la police du Connecticut à en passer un.

L’avocat principal d’Allen à l’époque, Elkan Abramowitz, a confirmé à Cathy Young (Woody Allen’s Innocence Should Be A Feminist Cause) qu’il n’a été ni demandé ni refusé à Allen de passer le test du détecteur de mensonge administré par la police de l’État du Connecticut.

6. Lorsque Woody Allen a officiellement adopté Moses Farrow et Dylan Farrow en décembre 1991, Mia Farrow a rédigé une déclaration sous serment louant ses compétences parentales.

Né en Corée en 1978 et atteint de paralysie cérébrale, Moses Farrow a été adopté par Mia Farrow en 1980.

Né au Texas en 1985, Dylan Farrow a été adopté pour la première fois par Mia Farrow en 1985.

Le 17 décembre 1991, lorsque Woody Allen a officiellement adopté Dylan et Moses Farrow en tant que parent monoparental cooptant, Mia Farrow a rempli une déclaration sous serment.

Dans cette déclaration sour serment, Mia Farrow a écrit que Woody Allen était “beaucoup plus un père que la plupart des pères naturels le sont ou choisissent de l’être” et qu’il est “un parent aimant, attentionné et attentif envers Dylan et qu’elle ne peut que bénéficier de l’avoir comme père adoptif. Il a agi en tant que père de Dylan presque depuis sa naissance et son adoption par moi… .Il est présent avec nous pendant presque toutes les heures ou Dylan est éveillée.”

La déclaration sous serment est mentionnée dans le document de la Cour Suprême.

7. Woody Allen n’a jamais été en thérapie avec un psychologue pour enfants pour sa conduite envers Dylan Farrow. Satchel (Ronan) et Dylan l’étaient.

Un des plus gros mensonges de Maureen Orth (Vanity Fair) et du clan Farrow est que « Woody Allen était en thérapie pour son comportement inapproprié présumé envers Dylan avec un psychologue pour enfants avant que l’allégation d’abus ne soit présentée aux autorités ou rendue publique ».

Contenu relatif. Rapport d’abus sexuel de Dylan Farrow.

Maureen Orth ajoute: « Mia Farrow avait dit à ses baby-sitters qu’Allen ne devait jamais être laissé seul avec Dylan. » puis elle passe au fait No 3. Bien entendu, les gens font le lien entre Woody Allen en thérapie avec un pédopsychiatre avant les allégations d’abus sexuel et Mia Farrow qui avait dit à ses baby-sitters qu’Allen ne devait jamais être laissé seul avec Dylan (vrai, comme vu précédemment).

1. FAUX: Woody Allen était en thérapie pour son comportement inapproprié présumé envers Dylan avec un psychologue pour enfants avant que l’allégation d’abus ne soit présentée aux autorités ou rendue publique.

Satchel (maintenant Ronan) et Dylan ont été traités par deux psychologues: la doctoresse Susan Coates, une psychologue clinicienne qui a traité Satchel (Ronan); la doctoresse Nancy Schultz, une psychologue clinicienne qui a traité Dylan. Comme indiqué dans le document de la Cour suprême, les deux psychologues ont exprimé l’opinion qu’ils ne croyaient pas que Woody Allen avait abusé sexuellement de Dylan.

Selon le document de la Cour suprême:

En juin 1990, les parties se sont inquiétées du comportement de Satchel (Ronan Farrow) et l’ont emmené voir le Dr Coates, avec qui il a ensuite commencé le traitement. À la demande du Dr Coates, les deux parents ont participé au traitement de Satchel. À l’automne 1990, les parties ont demandé au Dr Coates d’évaluer Dylan pour déterminer si elle avait besoin d’une thérapie. Au cours de l’évaluation, Mme Farrow a fait part de sa préoccupation au Dr Coates selon laquelle le comportement de M. Allen avec Dylan n’était pas approprié. Le Dr Coates a observé:

«J’ai compris pourquoi elle était inquiète, car la relation de Woody Allen avec Dylan était intense,… je ne la voyais pas comme sexuelle, mais je la voyais comme inappropriée, car elle excluait tout le monde, et elle imposait à un enfant une sorte de reconnaissance qui, selon moi, ne devait pas être placée sur un enfant… »

Elle a témoigné qu’elle avait travaillé avec M. Allen pour l’aider à comprendre que son comportement avec Dylan était inapproprié et qu’il devait être modifié. Le Dr Coates a également recommandé que Dylan entame une thérapie avec le Dr Schultz, avec qui Dylan a commencé le traitement en avril 1991.

Les faits sont très loin des mensonges de Maureen Orth, pour Vanity Fair (repris par Dylan Farrow) destinés à faire croire que Woody Allen payait son propre psychanalyste parce qu’il était sexuellement attiré par Dylan. Ni le Dr Coates ni le Dr Schultz n’étaient le thérapeute d’Allen, donc Allen n’était pas en thérapie pour son comportement inapproprié avec Dylan. De plus, la déclaration du Dr Coates est très claire: Je ne le voyais pas comme sexuel, mais je le voyais comme excessivement intense parce qu’il excluait tout le monde, et il imposait à un enfant une sorte de reconnaissance que je pensais devoir ne pas être placé sur un enfant.

2. VRAI: Mia Farrow avait dit à ses baby-sitters qu’Allen ne devait jamais être laissé seul avec Dylan.

Le 13 janvier 1992, Mia Farrow découvre des photographies nues de sa fille adoptive de 19/21 ans, Soon-Yi Previn, dans l’appartement de Woody Allen.

Dans ses mémoires, Mia Farrow écrit:

« Après le 13 janvier, je ne l’ai jamais laissé seul avec aucun de mes enfants. » – Mia Farrow. A Memoir. What Falls Away – Page 283

Mia Farrow a confirmé dans ses mémoires qu’elle voulait utiliser la relation de Woody Allen avec Soon-Yi – qui avait entre 19 et 21 ans – comme la preuve que Woody Allen pouvait abuser sexuellement une enfant de 7 ans:

Maintenant, je voyais son comportement [Woody Allen] avec Dylan sous un jour complètement différent. Je ne croyais plus qu’il puisse se contrôler. Je ne pensais plus qu’il traitait ses problèmes de manière responsable. Je n’étais plus sûr que son comportement «inapproprié» et «intense» avec Dylan n’était pas sexuel. À quel moment exactement cela devient-il un abus sur un enfant ? – Mia Farrow. A Memoir. What Falls Away – Page 281

Article complet (en anglais): Mia Farrow a utilisé la relation de Woody Allen avec Soon-Yi pour l’accuser d’abus sexuel sur Dylan.

Selon la baby-sitter Monica Thompson (article en anglais), renvoyée par Mia Farrow parce que malgré la pression de l’actrice elle refusait de soutenir l’allégation d’abus sexuel:

« Mme. Farrow a préparé le terrain pour signaler l’incident impliquant Dylan. Pendant plusieurs semaines, Mme Farrow a insisté pour que M. Allen ne soit pas laissé seul avec Dylan et voulait que je sois avec eux tout temps. »

8. Soon-Yi Previn n’est pas la (belle) fille (adoptive) (mineure) de Woody Allen et lorsqu’elle était enfant, il n’a jamais été une figure paternelle pour elle, comme le confirme le document de la Cour suprême, les déclarations de Soon-YI Previn et l’autobiographie de Mia Farrow.

Non seulement la fille adoptive d’André Previn et Mia Farrow n’était pas la fille ou la belle fille de Woody Allen, mais il n’a jamais été une figure paternelle pour elle quand elle était enfant, comme confirmé à la fois par Soon-Yi (en anglais)

Soon-Yi Previn

S’il vous plait, n’essayez pas de dramatiser ma relation avec Woody Allen. Il n’a jamais été de quelque façon que ce soit une figure paternelle pour moi. Je n’ai jamais eu de relations avec lui. Il venait rarement à notre appartement avant que son propre enfant soit né. Même alors, il ne parlait pas et la vérité c’est que je ne me suis jamais soucié de lui. Il était toujours préoccupé par son travail et ne m’a jamais parlé. Ni à aucun d’entre nous. C’est seulement quand Satchel (Ronan) est né qu’il a commencé à nous rendre visite régulièrement et ce seulement pour jouer avec le bébé. Mon propre père est André Previn, qui venait nous rendre visite très souvent et sortait avec nous fréquemment. Quand j’ai commencé à entretenir une relation amicale avec Woody, lui et Mia avaient terminé leur histoire d’amour et étaient juste amis. Je pense que Mia aurait été tout aussi en colère s’il avait entretenu une relation avec une actrice ou sa secrétaire.

Le juge Wilk

…par le document de la Cour Suprème présidée par le Juge Wilk (en anglais) : Jusqu’en 1990, bien qu’il n’ait eu que peu de contacts avec aucun des enfants Previn, M. Allen avait le moins à voir avec Soon-Yi. “

Mia Farrow

…et par Mia Farrow: selon son autobiographie, What Falls Away, quand Soon-Yi était une enfant, son aversion pour Woody Allen a toujours été palpable et il ne l’a même jamais emmené faire une promenade ou acheter une glace:

Je ne peux que supposer que mes enfants n’avaient jamais pensé que leur mère ferait quoi que ce soit qui pourrait entraîner une grossesse. C’était un ajustement pour chacun d’entre eux, et ils semblaient un peu abasourdis au début, particulièrement Soon-Yi, dont l’aversion pour Woody avait toujours été palpable. Parce qu’elle était arrivée dans notre famille juste au moment où André la quittait, je craignais qu’elle n’ait pas eu de modèle masculin positif dans sa vie. Alors quand elle était petite, j’avais demandé plusieurs fois à Woody s’il voulait l’emmener se promener, lui acheter une glace ou quelque chose, mais il avait refusé. Maintenant, quand je lui ai dit que j’étais enceinte, elle a laissé éclater des larmes de colère incompréhensibles. Elle n’aimait pas Woody, dit-elle, il était méchant et laid, et le bébé serait laid comme lui. Je l’ai serrée contre moi et j’ai essayé de la rassurer.

9. La nounou Monica Thompson a déclaré avoir subi des pressions de la part de Mia Farrow pour soutenir les accusations d’agression sexuelle contre Woody Allen. Elle a aussi affirmé qu’une autre baby-sitter avait de sérieux doutes sur l’accusation d’agression sexuelle.

Nanny Cast Doubts on Farrow Charge – Los Angeles Times

Monica Thomson était une nounou pour Mia Farrow. Elle a démissionné de sa charge le 25 janvier après avoir été assignée à comparaître.

Monica Thompson a déclaré dans une déposition qu’à plusieurs reprises Mia Farrow « m’a demandé si je serais ‘de son côté’. Mme Farrow a essayé de me faire dire que je la soutiendrais dans ses accusations. »

CONTENU RELATIF. Rapport d’abus sexuel pour Dylan Farrow.

Thompson a déclaré que le lendemain, Kristie Groteke, la baby-sitter de Dylan, l’avait conduite depuis l’arrêt du bus et que sa collègue était ‘très contrariée ».

« Elle m’a dit qu’elle se sentait coupable d’avoir permis à Mme Farrow de dire ces choses au sujet de M. Allen. (Groteke) a dit que le jour où M. Allen a passé avec les enfants, elle n’a pas laissé Dylan hors de sa vue pendant plus de cinq minutes. Elle ne se souvenait pas que Dylan était sans ses sous-vêtements. »

« Mme. Farrow a préparé le terrain pour signaler l’incident impliquant Dylan. Pendant plusieurs semaines, Mme Farrow a insisté pour que M. Allen ne soit pas laissé seul avec Dylan et voulait que je sois tout le temps avec eux. »

10. Mia Farrow a filmé Dylan en plusieurs fois et plusieurs jours et l’a emmenée deux fois chez le pédiatre avant qu’elle n’accuse Woody Allen d’avoir touché ses parties intimes dans le grenier.

Selon le document de la Cour suprême, Dylan Farrow n’a jamais dit que Woody Allen l’avait emmenée dans un grenier avant que Mia Farrow ne l’enregistre en vidéo:

Parce qu’elle était déjà mal à l’aise avec le comportement inapproprié de M. Allen envers Dylan et parce qu’elle pensait que ses préoccupations n’étaient pas prises suffisamment au sérieux par le Dr Schultz et le Dr Coates, Mme Farrow a enregistré sur bande vidéo les déclarations de Dylan. Au cours des vingt-quatre heures suivantes, Dylan a dit à Mme Farrow qu’elle avait été avec M. Allen dans le grenier et qu’il avait touché ses parties intimes avec son doigt.

La nounou Monica Thompson a déclaré dans des affidavits sous serment que l’enregistrement avait été réalisé en deux ou trois jours au minimum. « J’étais présent lorsque Mme Farrow a fait une partie de cette bande à l’extérieur. Je me souviens que Mme Farrow avait dit à Dylan à ce moment-là: ‘Dylan, qu’a fait papa. . . et qu’a-t-il fait ensuite?’ Dylan ne semblait pas intéressée, et Mme Farrow arrêtait d’enregistrer pendant un certain temps, avant de continuer. »

Non seulement la bande avait indéniablement été arrêtée et redémarrée plusieurs fois, mais il y avait même une épissure. Dans son livre, Mia & Woody: Love and Betrayal, page 127, Kristine Groteke, qui a reconnu qu’elle louait Farrow en tant que parent dévoué tout en dénigrant Allen comme impoli et antisocial, a écrit:

« Il y a eu une épissure, a expliqué Mia, qui a coupé la partie de la bande capturant par inadvertance les parties intimes de Dylan et qui, selon Mia, était ‘inappropriée’ à montrer. Cependant, la bande avait indéniablement été arrêtée et redémarrée plusieurs fois. »

Tous les experts en abus sexuels, même celui payé par Mia Farrow, ont critiqué la bande vidéo.

Le Dr Stephen Herman, appelé et payé par Mia Farrow.

Le Dr Herman a déclaré à la cour qu’il considérait « malheureux » que Mia Farrow, et non une personne objective et qualifiée, ait filmé le témoignage de Dylan, principalement parce que la façon dont elle se concentrait sur des choses spécifiques pouvait « donner le ton à un enfant sur la façon de répondre. . Je pense que cela pourrait soulever l’anxiété d’un enfant. » En bref, a-t-il déclaré: « Je ne pense pas que cela aide les choses, je pense que cela complique les choses. »

Le Dre Anne Meltzer, appelée et payée par Woody Allen.

Judge in Woody-Mia child custody case airs anti-Allen views.

Meltzer, une psychologue qui a témoigné à plus de 200 procès, a déclaré que d’après son expérience, c’était la première fois qu’une bande vidéo était produite par un parent. Meltzer a également déclaré qu’il était « inhabituel » pour un enfant de parler d’agression sexuelle peu de temps après qu’elle se soit produite.

« Ils se sentent généralement mal à ce sujet et on leur a dit de ne pas le dire. Cela entraîne souvent un retard de divulgation », a-t-elle déclaré.

Wilk, comme il l’a souvent fait au cours du procès, a posé plusieurs questions au témoin, il lui a notamment demandé si elle pensait que Dylan aurait pu inventer son récit parce que c’est ce qu’elle pensait que sa mère voulait entendre.

« Je pense que c’est possible », a déclaré Meltzer.

Richard Marcus, ancien chef du Manhattan Sex Crimes Unit, payé par Woody Allen.

Richard Marcus doubts Woody abused adopted daughter.

Marcus a déclaré que des questions directrices telles que « Qu’a-t-il fait? A-t-il enlevé ton caleçon » et des déclarations telles que « Après t’avoir touché, il a dit … » donnaient l’impression « d’inviter ou de rappeler à l’enfant ce qu’elle avait dit précédemment « .

Il l’a décrit comme une forme de « répétition » de sorte que les enquêteurs suivants « commenceront sur une piste très travaillée. »

Linda Fairstein, directrice de la première unité des délits sexuels aux États-Unis.

Remarque: Linda Fairstein n’a pas participé au procès pour la garde des enfants.

Linda Fairstein était directrice de la première unité des délits sexuels aux États-Unis. Jusqu’en 2002, elle a supervisé l’enquête sur plus de 1 000 allégations de sévices sexuels sur des enfants. À propos de l’abus de Dylan Farrow par Woody Allen, elle a déclaré: « Je n’ai aucune raison de croire que cela s’est produit. »

« Quand l’histoire est sortie que Mia avait filmé Dylan » – en onze segments tournés à des moments différents dans des endroits différents, un nu dans une baignoire, d’autres à l’extérieur la montrant seins nus – « cela m’a semblé être l’une des choses les plus folles que j’aie jamais entendu. À tous les niveaux, c’est la dernière chose que vous devriez faire. Tout d’abord, la filmer nue tout en lui demandant encore et encore ce qui s’est passé. Pourquoi exposez-vous votre enfant dans ces vidéos qui un jour seront peut-être entre les mains du public ou dans la salle d’audience? Ce fait à lui seul a déclenché toutes les alarmes. »

VIDEO – Linda Fairstein’s take on Dylan Farrow’s open letter.

Selon le Dr Leventhal qui a dirigé l’enquête sur le Connecticut, il est possible que Mia Farrow ait encouragé son enfant à inventer simplement en enregistrant son histoire en vidéo parce que Dylan aimait jouer la comédie.

11.Lorsqu’elle était enfant, Dylan Farrow a changé plusieurs fois le récit de son prétendu abus sexuel par Woody Allen, allant même jusqu’à déclarer « J’aime tricher avec mes histoires ».

La première fois qu’un médecin a demandé à Dylan Farrow de dire où Woody Allen l’avait touchée, elle a pointé son épaule.

Selon les experts en abus sexuels qui l’ont interviewée 9 fois, à la question de savoir si Woody Allen avait touché son vagin, Dylan Farrow a changé son histoire d’une interview à l’autre, allant jusqu’à déclarer « j’aime tricher avec mes histoires ».

« Les déclarations de Dylan lors des entretiens à l’hôpital se contredisaient les unes les autres et contredisaient l’histoire qu’elle a racontée sur la bande vidéo réalisée par Mlle Farrow », a déclaré le Dr Leventhal. « Ce n’étaient pas des incohérences mineures », a-t-il déclaré. « Elle nous a d’abord dit qu’elle n’avait pas été touchée dans la région vaginale, puis elle nous a dit qu’elle l’avait été, puis elle nous a dit qu’elle ne l’avait pas été. »

12. Après des mois d’enquête deux équipes indépendantes d’experts en abus sexuels de deux états différents (Connecticut, New York) ont déclaré l’allégation de Dylan Farrow non crédible et infondée.

Hôpital de New-Haven

Evaluation clinique de Dylan Farrow pour abus sexuel sur mineur.

« C’est notre expertise que Dylan n’a pas été abusée sexuellement par Monsieur Allen. De plus, nous croyons que la déclaration de Dylan sur la cassette vidéo, ainsi que la déclaration qu’elle nous a faite durant notre évaluation, ne correspond pas aux évènements réels qui lui sont arrivés le 4 août 1992. »

CONTENU RELATIF. Dylan Farrow, 8 mensonges en 9 paragraphes.

Département des services sociaux de l’État de New York

Le 7 octobre 1993, une seconde enquête indépendante de 14 mois par le New York State child welfare, innocenta Woody Allen une seconde fois, déclarant l’allégation d’abus sexuel de Dylan non fondée: « Aucune preuve crédible n’a été trouvée que l’enfant nommé dans ce rapport a été abusé ou maltraité. Ce rapport a donc été considéré comme non fondé. »

13. En raison de la relation de Woody Allen avec Soon-Yi Previn, le juge Wilk, marié à une avocate féministe, était ouvertement partial contre lui.

À cause de la célébrité de Woody Allen et parce qu’il ne montrait aucun remords à propos de sa relation amoureuse avec Soon-Yi Previn, la fille adoptive de Mia Farrow, les conclusions du juge Wilk sont faussées par une révulsion à peine dissimulée à son égard.

Le juge Wilk était mariée à une avocate « plaidant la cause des femmes et des enfants ».

Le juge Wilk était tellement hostile à Woody Allen qu’il a trouvé des raisons de contester TOUS les témoignages disant qu’il n’avait pas sexuellement abusé Dylan: le Dr Susan Coates (une femme), le Dr Nancy Schultz (une femme) et le Yale-New Haven hôpital (l’enquête du Yale-New Haven hôpital a été menée sur une période de six mois par le Dr Leventhal, un pédiatre; le Dr Julia Hamilton, qui a un doctorat en travail social; et Mme Jennifer Sawyer, qui a une maîtrise diplôme en travail social.).

Il a également contesté Richard Marcus, ancien chef du Manhattan Sex Crimes Unit, appelé et payé par Woody Allen.

Il a partagé l’avis de l’expert appelé et payé par Mia Farrow, le Dr Stephen Herman, qui a trouvé le rapport Yale-New Haven erroné. Mais il a « oublié » l’opinion du Dr Anne Meltzer, une psychologue appelée et payée par Woody Allen, qui a témoigné à plus de 200 procès. La Dre Anne Meiltzer a déclaré qu’elle pensait que le rapport avait été fait de manière « approfondie et sensible ». « Ils sont parvenus à des conclusions qui étaient bien étayées par les données qu’ils ont collectées ».

Lorsque Woody Allen a co-adopté Dylan et Moses en décembre 1991, Mia Farrow a écrit un affidavit – fait 6/20 – certifiant que Woody Allen était « bien plus un père que la plupart des pères naturels le sont ou choisissent de l’être » et qu’il est « un homme aimant, attentionné, parent attentif à Dylan et elle ne peut que bénéficier de l’avoir comme père adoptif. Il a agi en tant que père de Dylan presque depuis sa naissance et son adoption par moi… .Il est présent avec nous pendant presque toutes les heures de veille de Dylan. » Cependant, le juge Wilk a déclaré sans plus d’explications à propos de cet affidavit qu’il était « mal placé » et « je lui accorde peu de poids ».

14. Selon le document de la Cour suprême, le comportement inapproprié de Woody Allen envers Dylan Farrow concernait l’intensité de sa relation avec elle, pas l’allégation d’abus sexuel.

Le comportement « grossièrement inapproprié » signalé par le juge Wilk dans le document de la Cour suprême est souvent cité comme preuve que Woody Allen a abusé sexuellement de Dylan.

Mais si nous citons la phrase entière du document de la Cour suprême, et pas seulement deux mots, nous entendons une toute autre histoire à propos de ce comportement inapproprié:

« Le témoignage crédible de Mme Farrow, du Dr Coates, du Dr Leventhal et de M. Allen prouve cependant que le comportement de M. Allen envers Dylan était extrêmement inapproprié et que des mesures doivent être prises pour la protéger. »

Woody Allen est l’une des quatre personnes dont le témoignage est considéré comme crédible. Woody Allen a TOUJOURS nié l’allégation d’abus sexuel portée contre lui par Dylan Farrow, il ne s’agit donc pas d’un témoignage sur cette allégation: Woody Allen n’a pas témoigné contre lui-même.

Idem pour le Dr Susan Coates qui a dit que selon elle Woody Allen n’avait pas abusé sexuellement Dylan. Idem pour le Dr Leventhal qui dirigeait l’équipe de l’hôpital de Yale-New Haven et a déclaré que Woody Allen n’avait pas abusé sexuellement Dylan (il a suggéré que Dylan aurait pu inventer l’agression ou aurait pu être entraînée ou influencée par sa mère, Mia Farrow).

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En réalité, le comportement « grossièrement inapproprié » de Woody Allen fait référence à l’observation du Dr Susan Coates: « J’ai compris pourquoi elle [Mia Farrow] était inquiète, parce qu’elle [La relation d’Allen avec Dylan] était intense,… je ne la voyais pas comme sexuelle, mais je la voyais comme inappropriée, car elle excluait tout le monde, et elle imposait à un enfant une sorte de reconnaissance qui, selon moi, ne devrait pas être placée sur un enfant. »

Bien qu’il ait été ouvertement hostile à Woody Allen, le juge Wilk a été contraint de déclarer que « les preuves suggèrent qu’il est peu probable qu’il (Woody Allen) puisse être poursuivi avec succès pour abus sexuels ».

15.La déclaration complète du procureur Maco contredit sa prétention d’avoir une « cause probable » (il n’a jamais dit laquelle) pour poursuivre Woody Allen.

STATEMENT OF DECISION SEPTEMBER 24, 1993

Frank Maco n’a jamais dit quelle était la « cause probable », ni en 1993, ni en 2014. Quiconque lit la déclaration complète au lieu d’isoler les mots « cause probable » comprend que la vraie raison pour laquelle le procureur Maco voulait « éviter le risque injustifiable d’exposer un enfant aux rigueurs et aux incertitudes d’une poursuite douteuse » était dû au fait que « même le juge Wilk, en doutant du succès d’une poursuite pénale et travaillant dans le cadre d’une norme de preuve moins sévère que la preuve hors de tout doute raisonnable, ne pouvait pas définitivement conclure que l’abus sexuel avait eu lieu. »

En d’autres termes, Maco était sûr de perdre contre Woody Allen: non seulement il n’avait aucune preuve mais même ses propres experts étaient contre lui.

Woody Allen demande au Connecticut de poursuivre le procureur

Woody Allen Asks Connecticut to Discipline Prosecutor

Les procureurs actuels et anciens ont déclaré qu’ils ne voyaient pas les raisons pour lesquelles M. Maco rejetait ses propres experts. Ils se sont également demandé pourquoi il avait gardé le dossier ouvert plus de six mois après que l’hôpital eut remis son rapport.

Woody Allen porta plainte contre Frank Maco: un panel jugea que les actions du procureur Maco étaient « inappropriées, non sollicitées et potentiellement préjudiciables » et qu’elles avaient également « violé l’obligation du procureur envers l’accusé ». L’affaire dura jusqu’en 1996. Maco fut suspendu pendant une grande partie de cette période, perdant son salaire et coûtant aux États des centaines de milliers de dollars en défense.

16. Dès 1992, Moses Farrow, alors âgé de 14 ans, a déclaré qu’il croyait que sa mère, Mia Farrow, avait inventé l’accusation d’abus sexuel contre Woody Allen.

Lors de sa déposition, la nounou Monica Thompson a déclaré qu’à une occasion, presque immédiatement après l’incident présumé, Moses Farrow, adopté par Allen et Farrow et âgé de 14 ans, a exprimé des doutes quant à la véracité de ce qui s’était passé.

« Moses est venu vers moi et m’a dit qu’il croyait que Mme Farrow avait inventé l’accusation qui était prononcée par Dylan », a déclaré Thompson dans un affidavit. – Nanny Casts Doubt on Farrow Charges. – Los Angeles Times

17. Moses Farrow était présent avant, pendant et après l’événement présumé. Son témoignage confirme les deux enquêtes qui ont innocentées Woody Allen et le lavage de cerveau exercé par Mia Farrow sur sa fille adoptive Dylan.

Dès 1992, Moses Farrow, alors âgé de 14 ans, a déclaré qu’il croyait que sa mère, Mia Farrow, avait inventé l’accusation d’abus sexuel contre Woody Allen. En mai 2018, Moses Farrow, qui est maintenant un thérapeute familial, a écrit un long essai sur sa famille et Woody Allen, défendant son père contre les allégations d’agression sexuelle et décrivant les punitions répétées par sa mère et d’autres abus, et ce qu’il a appelé « une profonde et persistante obscurité au sein de la famille Farrow ».

Trois extraits:

« J’étais présent pour tout ce qui s’est passé dans notre maison avant, pendant et après le supposé événement. »

Moses Farrow, le fils adoptif de Mia Farrow et Woody Allen était présent le 4 août 1992: il avait 14 ans.
Moses Farrow, le fils adoptif de Mia Farrow et Woody Allen était présent le 4 août 1992: il avait 14 ans.

« Pendant la bataille judiciaire, ma mère insistait toujours sur la nécessité de rester unis en tant que famille. Terrifié et battu, moi aussi, j’ai joué mon rôle. J’ai même écris une lettre condamnant Woody, disant qu’il avait fait quelque chose d’horrible et d’impardonnable, et qu’il avait brisé mes rêves. J’ai même lu la lettre aux médias qui se réunissaient régulièrement au bout de notre allée, sachant qu’en faisant cela, je gagnerais l’approbation de ma mère. Cette dénonciation publique de mon père reste le plus grand regret de ma vie. »

« A ce moment, bien sûr, je ne savais rien des six mois d’enquête criminelle menée par la Clinique des abus sexuels sur enfants de l’hôpital de Yale-New Haven, ordonnée par la police de l’Etat du Connecticut. Mais comme ces allégations ont refait surface il y a quelques années, j’ai vu les résultats de l’enquête. Elle conclut précisément que ‘Dylan n’a pas été agressée par M. Allen’, que ses déclarations avaient une ‘qualité de répétition’ et qu’elle était ‘probablement entraînée ou influencée par sa mère’. Ces conclusions correspondent parfaitement a l’expérience que j’ai de ma propre enfance : entraîner, influencer et répéter sont trois mots qui résument exactement comment ma mère a essayé de nous élever. Je sais que Dylan a récemment fait référence à cette théorie de lavage de cerveau comme une ‘diversion’ de notre père, mais ce n’était rien de la sorte. Ce n’était pas seulement la conclusion à laquelle était arrivée une enquête ordonnée par l’État, c’était la réalité de la vie dans notre famille. »

Moses avait déjà écrit sur sa famille et l’innocence de Woody Allen

Ce n’était pas la première fois que Moses Farrow écrivait sur sa famille. En 2014, quatre jours après la publication par Dylan Farrow de sa lettre ouverte dans le New York Times le 1er février, grâce à Nicholas Kristof, l’ami très proche de Mia Farrow, Moses Farrow avait parlé au magazine People, en soutien à Woody Allen. En septembre 2017, dans un nouveau livre sur la carrière cinématographique de Woody Allen d’Eric Lax, Moses a soutenu que sa mère était émotionnellement manipulatrice et physiquement abusive.

En 2018, après l’interview de Dylan à la télévision, Moses Farrow a tweeté (sélectionnez le Tweet pour l’ouvrir sur le compte Twitter de Moses Farrow):

« Tant de fois j’ai vu ma mère essayer de la convaincre qu’elle avait été abusée – et cela a fonctionné. Un jour, j’espère que Dylan pourra échapper à ma mère, affronter la vérité et commencer sa propre guérison. »

18. Même en tant qu’adulte, et tout à l’opposé de ce qu’elle ne cesse de répéter, Dylan Farrow a changé sa version à plusieurs reprises concernant la façon dont Woody Allen l’aurait sexuellement agressée.

Dylan Farrow répète constamment qu’elle a toujours maintenu la même histoire depuis qu’elle a 7 ans. Est-ce parce que tout au contraire les faits la contredisent et indiquent qu’elle a changé son histoire à plusieurs reprises au sujet de l’allégation d’abus sexuel par Woody Allen?

Comme nous l’avons vu précédemment, Dylan Farrow a déjà changé son histoire à plusieurs reprises lorsqu’elle était enfant, allant même jusqu’à déclarer: « J’aime tricher avec mes histoires ».

En tant qu’adulte, elle a également changé son histoire d’ «Agression sexuelle aggravée au premier degré» (pénétration des doigts) à «Agression sexuelle au premier degré» (touchée uniquement).

Ceci est extrêmement important car il n’y a pas de délai de prescription pour «Agression sexuelle aggravée au premier degré». Si donc Dylan Farrow n’avait pas changé son histoire concernant son allégation d’abus sexuels, des poursuites pénales pourraient toujours être possibles.

En modifiant son récit, Dylan Farrow s’est imposé le délai de prescription empêchant la réouverture de son dossier pour poursuite pénale.

Mais Dylan Farrow peut toujours poursuivre Woody Allen devant un tribunal civil, et ce pendant encore plusieurs années.

Et même peut-être au pénal…

Délai de prescription: Dylan Farrow trompe volontairement toutes les victimes d’abus sexuels

Lors d’une interview pour CNN, Christiane Amanpour a interrogé Cate Blanchett, en lui demandant: « Comment juxtaposez vous le fait d’être un partisan #MeToo, un partisan de Time Up, et de garder le silence ou d’avoir travaillé avec Woody Allen? » Cate Blanchett a répondu « … si ces allégations doivent être réexaminées, elles doivent l’être devant un tribunal. »

Alors qu’habituellement elle répond immédiatement, sans doute le signe de son embarras, Dylan Farrow a attendu une semaine entière avant de tweeter: « Peut-être que Mme Blanchett n’est pas au courant du délai de prescription qui empêche mon dossier (et tant d’autres) d’être réouvert… »

Hors, Dylan Farrow peut toujours traduire Woody Allen devant un tribunal civil. En fait, le délai de prescription du tribunal civil du Connecticut n’expirera que lorsque Dylan Farrow sera âgée de 48 ans.

Dylan Farrow n’est pas seule: elle a des conseils juridiques autour d’elle et même son frère Ronan Farrow – il avait 4 ans en 1992 lorsque Moses Farrow avait 14 ans – qui la soutient est avocat. Il est donc tout simplement impossible qu’elle ne sache pas que sans le changement de son récit concernant l’allégation d’abus sexuels, des poursuites pénales auraient pu être une option.

Il est encore plus impossible que Dylan Farrow ne sache pas qu’elle peut encore traduire son père adoptif devant un tribunal civil.

L’état du Connecticut et la notion de « kidnapping »

Dylan Farrow est amie avec Donna Palomba, la fondatrice de l’organisation «Jane Doe No More» pour les victimes d’agression sexuelle. Il y a même un lien vers cette organisation sur le compte Twitter de Dylan Farrow.

Donna Palomba a réussi à faire condamner son agresseur au pénal malgré le délai de prescription grâce à la notion de kidnapping, et ce bien que l’agression se soit passée à son domicile.

Il n’est donc pas possible que Dylan ignore cette option. Un article (en anglais) évoque d’ailleurs cette possibilité à propos de Woody Allen.

19. Le train électrique dans le grenier, décrit avec insistance par Dylan Farrow dans sa lettre ouverte publiée en 2014 par le NYT, de même que le voyage à Paris, n’ont jamais été mentionnés auparavant.

Dans sa lettre ouverte publiée en 2014 par le New York Times, Dylan Farrow affirme:

Il (Woody Allen) m’a dit de m’allonger sur le ventre et de jouer avec le train électrique de mon frère. Puis il m’a agressé sexuellement. Il m’a parlé pendant qu’il le faisait, chuchotant que j’étais une gentille fille, que c’était notre secret, promettant que nous irions à Paris et que je serais une star dans ses films. Je me souviens avoir regardé ce train, m’être concentré sur lui alors qu’il tournait en cercle dans le grenier. Encore à ce jour, il m’est difficile de regarder des trains électriques.

Avant 2014, ni le document du tribunal, ni la déclaration du procureur, ni le rapport du Yale-New Haven hôpital (énumérant neuf entretiens avec Dylan Farrow), ni aucun document ou article dans la presse ne font référence à Dylan Farrow ou Mia Farrow signalant la présence d’un train électrique dans le grenier au cours de l’allégation d’abus sexuel par woody Allen. Ni d’un voyage à Paris.

Dans son essai du 23 mai 2018, Un fils prend la parole, Moses Farrow a écrit:

C’est un récit précis et convaincant, mais il y a un problème majeur : il n’y avait aucun train électrique dans ce grenier. Il n’y avait rien de pratique dans cet espace pour des enfants qui voudraient y jouer, même si nous le voulions. C’était un petit espace inachevé, sous un toit à pignons très incliné, avec des planches et des clous exposés, une isolation en fibre de verre, des pièges à souris, une odeur de naphtaline, rempli de malles contenant des vêtements tricotés par ma mère.

L’idée que cet endroit puisse permettre à un train électrique de tourner autour du grenier est ridicule. L’un de mes frères avait un train électrique mais il se trouvait dans la chambre des garçons au premier étage. (Peut-être était-ce le train électrique dont ma sœur pense se souvenir ?) Maintenant, à chaque fois que j’entends Dylan parler publiquement de ce qui est censé lui être arrivé ce jour-là, alors qu’elle avait à peine sept ans, je pense à ce train électrique imaginaire dont elle n’a jamais parlé pendant l’enquête initiale ou pendant la bataille judiciaire. Est-ce que quelqu’un a suggéré à Dylan adulte que ce genre de détail rendrait son histoire plus crédible ? Ou bien est-ce qu’elle croit vraiment se souvenir de ce train « tournant autour du grenier » tout comme elle se souvient de Woody lui chuchotant les promesses de voyage à Paris et un avenir de star (plutôt étrange comme manière d’amadouer une enfant de sept ans, pourquoi ne pas plutôt promettre un nouveau jouet ou une poupée ?)

20. La chanson de Dory Previn “Avec Mon Papa dans le Grenier” où un père incestueux joue de la clarinette (Woody Allen est clarinettiste) était tout particulièrement familière à Mia Farrow.

« Sans aucun doute, l’idée du grenier lui est venue (Mia Farrow) de la chanson de Dory Previn, ‘Avec Mon Papa dans le Grenier’ (With My Daddy in the Attic). Elle était sur le même disque que la chanson que Dory Previn avait écrite à propos de Mia trahissant leur amitié en lui volant insidieusement son mari, André, ‘Méfiez-vous des jeunes filles’ (Beware of Young Girls). »Woody Allen s’exprime (Woody Allen Speaks Out)

Avec mon papa dans le grenier
Avec mon papa dans le grenier
C’est là où je veux aller me coucher

…………………………………………………

Où nous vivrons avec du beurre d’arachide
Tartiné sur des crackers assortis
Et il jouera de sa clarinette
Quand je désespère

Papa m’a acheté des trains électriques

Pas sur le même disque, mais aussi de Dory Previn, est la chanson « Maman, Maman, Réconforte moi » (Mama, Mama, Comfort Me):

Maman maman réconforte moi
C’est toi qui m’aime
Papa m’a acheté des trains électriques
Parce que ce qu’il voulait c’était un fils
Il voulait un fils

Dylan Farrow: l’allégation d’abus sexuel dans le grenier est-elle venue d’une chanson?

Pour un examen plus attentif de la chanson de Dory Previn « With my Daddy in the Attic » et du train électrique inventé par Dylan Farrow en 2014, consultez l’article (en anglais) « Dylan Farrow: did the attic abuse allegation came from a song? »