Dylan Farrow : 8 mensonges en 9 paragraphes

Dylan Farrow - 8 mensonges en neuf paragraphes

Cet article est la version courte d’un article complet et détaillé en anglais avec toutes les sources.

Lorsque Dylan Farrow était une enfant de 7 ans, ses accusations d’abus sexuel par Woody Allen n’ont pas été trouvées crédibles par deux équipes d’experts indépendants spécialisés en abus sexuel (plusieurs mois d’enquêtes).

Dylan Farrow: Le report du Yale-Hôpital de New Haven innocente Woody Allen. Celui du New-York State Child Welfare aussi.
Dylan Farrow: Le report du Yale-Hôpital de New Haven innocente Woody Allen. Celui du New-York State Child Welfare aussi.

Maintenant qu’elle est une adulte, Dylan Farrow multiplie les mensonges les plus grossiers, allant même jusqu’à modifier le document de la Cour Suprême.

Il est très facile de démontrer ces mensonges.

Vanity Fair et les 8 mensonges de la lettre de Dylan Farrow

Les 8 mensonges de Dylan Farrow ont été écrit dans une lettre publiée par Vanity Fair, un magasine de culture populaire, bien connu pour supporter Mia Farrow et calomnier Woody Allen depuis 1992 (Mia Story).

Dylan Farrow a utilisé une partie ou l’ensemble de ces huit mensonges de nombreuses fois.

CONTENU RELATIF. Moses Farrow: Un fils prend la parole.

Premier mensonge de Dylan Farrow

For 20 years, I have never wavered in describing what he did to me.

Durant 20 ans, je n’ai jamais varié dans la description de ce qu’il m’a fait.

C’est exactement l’inverse! Dylan Farrow a continuellement modifié sa description de son prétendu abus sexuel  par Woody Allen. Woody Allen, lui, n’a jamais varié dans ses dénégations.

Lorsqu’elle était enfant, Dylan Farrow a même déclaré: J’aime tricher avec mes histoires. (“I like to cheat on my stories.”)

Premier mensonge : sources et détails (en anglais).

Second mensonge de Dylan Farrow

…he was in treatment for what his own therapist described as “inappropriate” behavior with me… 

…il était en traitement pour ce que son propre thérapeute a décrit comme un comportement « inapproprié » avec moi…

Dylan et Satchel (maintenant Ronan) Farrow étaient en traitement avec deux psychologues pour enfant, Woody Allen ne l’était pas. L’un des deux psychologues avait trouvé que le comportement de Woody Allen avec Dylan était  inappropriément intense parce qu’il excluait tout autre personne, et qu’il plaçait une demande sur un enfant pour une sorte de reconnaissance que j’estimais ne pas devoir être placée sur un enfant. Il a aussi précisé « Je ne le voyais pas comme sexuel. »

Deuxième mensonge : sources et détails (en anglais).

Troisième mensonge de Dylan Farrow

…he refused to take the test administered by the state police…

…il a refusé de passer le test du détecteur de mensonge pratiqué par la police…

La police n’a jamais demandé à Woody Allen de se soumettre au test du détecteur de mensonges. Il en a passé un volontairement. Il a demandé à Mia Farrow d’en passer un, elle a refusé.

Troisième mensonge : sources et détails (en anglais).

Quatrième mensonge de Dylan Farrow

These and other misrepresentations have been rebutted in more detail by independent, highly respected journalists, [including this most recent article here] (http://www.vanityfair.com/online/daily/2014/02/woody-allen-sex-abuse-10-facts).

Ces fausses déclarations ainsi que d’autres ont été réfutées de façon plus détaillées par des journalistes indépendants et hautement respectés (y compris dans ce récent article).

Plusieurs mensonges de Dylan Farrow sont directement copiés de « 10 faits indéniables… » écrit par Maureen Orth pour Vanity Fair. Maureen Orth a docilement rapporté les paroles et les mensonges de Mia Farrow depuis 1992 (Mia Story) et est aussi connue pour avoir calomnié Michael Jackson.

Un autre « journaliste indépendant et hautement respecté » est Nicholas Kristof, un très proche ami de Mia Farrow,: c’est lui qui a publié la lettre ouverte de Dylan Farrow dans le New York Times.

Et bien sûr, Ronan Farrow !

Quatrième mensonge : sources et détails (en anglais).

Cinquième mensonge de Dylan Farrow

…debunked the experts my father claims exonerated him, calling them colored by their loyalty to Mr. Allen…

discrédita les experts dont mon père prétend qu’ils l’ont exonérés, les déclarant influencé par leur loyauté envers M. Allen…

Peut-être le plus gros mensonge de Dylan Farrow…

Ni le Docteur Coates, ni le Docteur Schlutz, les psychologues qui suivaient Dylan et Sachel (Ronan), ne croyaient que Woody Allen avait sexuellement abusé Dylan. Le Juge Wilk – marié à une avocate féministe et ouvertement biaisé contre Woody Allen à cause de sa relation avec Soon-Yi – déclara que leur jugement pouvait avoir été influencé par leur loyauté envers Woody Allen. Or, contrairement à ce que voudrait faire croire Dylan, ni le Docteur Coates, ni le Docteur Schutz ne faisaient parti de l’équipe d’experts commissionnés par le département de la police et le procureur Frank Maco.

Le Juge Wilk n’a donc jamais déclaré que le jugement des experts commissionnés par le procureur Maco pouvait avoir été influencé par leur loyauté envers Woody Allen.

Après neuf interviews avec Dylan Farrow et après avoir examiné l’enregistrement vidéo réalisé par Mia Farrow, l’équipe déclara sans ambigüité que Dylan Farrow n’avait pas été abusée sexuellement et suggéra qu’elle avait été entrainée ou influencée par Mia Farrow.

Dylan Farrow oublie aussi de mentionner qu’après 14 mois d’enquête, un second rapport indépendant du département des services sociaux de l’état de New York innocenta Woody Allen de tout abus sexuel une seconde fois.

Cinquième mensonge : sources et détails (en anglais).

Sixième mensonge de Dylan Farrow

Included testimony from babysitters…

Comprend le témoignage de babysitters…

Babysitters avec un s est un mensonge: il y a un et seulement un témoignage d’une seule babysitter mentionné dans le document de la Cour Suprême.

Sixème mensonge : sources et détails (en anglais).

Septième mensonge de Dylan Farrow

…who witnessed inappropriate sexual behavior by my father toward me.

…qui (ont) a été témoin d’un comportement sexuel inapproprié de mon père envers moi.

Jamais le Juge Wilk ni le document de la Cour Suprême utilise les mots « comportement sexuel inapproprié » à propos du témoignage de la babysitter. Les mots « comportement sexuel inapproprié » sont la création de Dylan Farrow adulte, qui a précédemment menti en écrivant …il était en traitement pour ce que son propre thérapeute a décrit comme un comportement « inapproprié » avec moi… (mensonge N° 2) et s’apprête à mentir à nouveau à propos du « comportement grossièrement inapproprié » de Woody Allen (mensonge N°8).

Septième mensonge : sources et détails (en anglais).

Huitième mensonge de Dylan Farrow

Concluded that the evidence « …proves that Mr. Allen’s behavior toward Dylan was grossly inappropriate and that measures must be taken to protect her. »

Conclut que l’évidence (la preuve) « …prouve que le comportement de Monsieur Allen envers Dylan état grossièrement inapproprié et que des mesures doivent être prise pour la protéger.

Pour suggérer que « grossièrement inapproprié » se réfère à un abus sexuel, Dylan ne cite pas la phrase complète. Elle ment en ajoutant le mot « évidence » avant la citation, volé d’une phrase précédente du Juge Wilk: « Les preuves suggèrent qu’il est peu probable qu’il (Woody Allen) puisse être poursuivi avec succès pour abus sexuel. »

Huitième mensonge : sources et détails (en anglais).