Pour Laurent Dandrieu, le refus d’Hachette et d’autres maisons d’édition de publier les mémoires du cinéaste Woody Allen sonne comme une immense injustice. Et illustre un terrifiant recul des libertés face auquel il convient de réagir avant qu’il ne soit trop tard.
Dans cette famille dysfonctionnelle, les choses sont visiblement plus compliquées que ne le voudrait le simplisme de l’époque, qui réclame un coupable et une victime – le coupable étant de préférence masculin.